mercredi 24 septembre 2008

Hasard déjoué

J'ai eu récemment le flashback d'une anecdote assez particulière, survenue il y a une couple d'années, mais qui vaut vraiment la peine d'être partagée.

Je m'en allais au marché Jean-Talon, tranquilou-dans-ma-bulle, quand j'aperçois mon ami JP un peu plus loin devant, à l'intersection St-Denis/Jean-Talon. Je pars en courant pour aller lui sauter au cou par derrière. Puis... arrivée à sa hauteur, une seconde avant de sauter, j'ai un mini doute. Je m'arrête et vérifie.... je m'étais effectivement gourée, c'était pas lui. Je poursuis mes pas.... 15 secondes plus tard, le vrai JP se pointe à ma droite, me donne un coup de coude et me dit: «tu passes à côté de moi en courant et tu me dis même pas bonjour!»...!!
.....AH!
Ben justement, je te courais après, j'étais certaine que t'étais lui, là... là-bas.

J'étais stupéfaite.
Je le suis encore.
C'est dingue la vie des fois.

vendredi 19 septembre 2008

Entendu cette semaine...

D'un père mécanicien automobile à son fils massothérapeute:
«Quand la patente marche, touche z'y pas!».

dimanche 14 septembre 2008

Buzz

Pourquoi la brise appartient-elle à cet homonyme quand elle n'a rien du fracas et qu'elle est si douce au visage?

vendredi 5 septembre 2008

Masse Cocasse

J'ai une nouvelle voisine depuis 2 mois.
On n'a pas vraiment eu l'opportunité de faire connaissance encore (la ville, quoi!).
Mais cette semaine, j'ai vu qu'elle avait mis des draps de massage sur sa corde à linge.
Ce qui signifie que nous sommes 3 voisines masso, côte-à-côte.
Je suis celle du milieu.
Ça m'assure d'une tranquilité certaine!
Imaginez le mood subitement ressenti quand les passants traversent notre zone.
Un twilight zone de la modernité.

jeudi 4 septembre 2008

Le goût des autres

J'ai toujours eu le mimétisme sensible...
Dès que je passe passablement de temps avec quelqu'un que j'aime beaucoup, je me mets à adopter des p'tits morceaux de sa gestuelle, certaines intonations dans son parler, etc.

Un peu comme une façon de les faire vivre en moi.

Surprenez-vous donc pas si vous vous appercevez que je vous ai volé un bout de votre déploiement d'auriculaire-attachant-son-lacet (ça peut aller jusque là...), ou encore du plongeon de votre voix au moment de prononcer «calculatrice»....
Prenez-le comme un compliment.
C'est signe que je vous aime beaucoup.

Pour ceux qui ont croisé S. vous reconnaîtrez plein de bouts de lui qui survivent en moi...des petits naufragés de lui. Il est celui dont je me suis le plus contaminée dans la dernière année.
Qu'est-ce que je disais déjà.... plus j'aime, plus je mime?
Mmmmmmmm....